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Internat. Literaturfestival
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Internationales Literaturfestival 2016

Boualem Sansal: 2084 – La Fin du Monde 

Mercredi, le sept septembre, tous les élèves qui avaient pris français en option dans la "Oberstufe" sont allés voir Monsieur Sansal. Il est l’auteur du livre 2084 – La Fin du Monde. La rencontre se déroulait dans la «maison des festivals«. La lecture a commencé avec Clarisse Cossais qui était là pour parler à l’auteur et pour organiser et structurer la lecture. Elle nous a présenté Boualem Sansal, nous a parlé un peu de lui et de l’histoire de son livre. Après cette introduction au thème, c’était à Monsieur Sansal de nous lire quelques pages de son roman, que l’on pouvait suivre facilement même si on ne l’avait pas lu. Le temps est passé vite entre lui qui lisait certains passages de son livre et sa voisine qui l’interrogeait sur les détails de son œuvre. En tout cas, ce fût bientôt le temps des questions pour nous et auxquelles il répondit vraiment de manière très sympathique.

En débattant en classe le jour suivant, beaucoup d’entre nous ont décidé de ce qu’ils avaient trouvé le plus intéressant: c’était quand il a parlé de la manière dont il avait trouvé les noms des personnages. Il nous a expliqué qu’il voulait des noms très courts. Son but avec ça était que cela concordait avec le langage comprimé qu’il a adapté du livre 1984 de l’auteur George Orwell. Étant donné que ce n’était pas son vrai nom, mais un pseudonyme, et qu’en réalité il se nommait Arthur Blair, il a commencé à faire des abréviations et des différentes versions de ce nom. Finalement, il est arrivé à «Ati», le nom qu’il a donné au protagoniste principal.

En tout cas, cette introduction à la lecture de Boualem Sansal nous a beaucoup plu et je suis certaine que plusieurs d’entre nous ont maintenant envie de lire son livre : 2084 – La Fin du Monde. 

Laura W. et Anouchka B.

 
  

Und noch ein Bericht:
Am Mittwoch, den 07. September 2016 durften diejenigen, die einen Französisch-Kurs besuchen, um 09.00 Uhr im Haus der Berliner Festspiele an einer Lesung eines Literaten teilnehmen. Dieser heißt Boualem Sansal.

Geboren ist er am 15. Oktober 1949 in Algerien. Dementsprechend ist er 66 Jahre alt.  Mit 50 Jahren begann er mit seiner literarischen Karriere. Herr Sansal ist unbestritten der wichtigste Gegenwartsautor seines Landes. Er schreibt meist über seine regime- und islamkritische Haltung. Einige wichtige Auszeichnungen für seine Werke hat er bereits gewonnen. Bei dieser Lesung ging es um sein in der Mitte des Jahres veröffentlichtes Buch mit dem Titel: 2084 - La fin du monde. Übersetzt bedeutet es: 2084 - Das Ende der Welt. Es geht in Kürze um eine Zukunftsversion, wobei hier aber ein totalitäres Regime unter der Kontrolle religiöser Prinzipien und Versprechungen die Menschheit beherrscht. Das Buch ist in Frankreich bereits nach kurzer Zeit für viele Literaturpreise nominiert worden.

Kommentar: Boualem Sansal ließ während der gesamten Lesung durchblicken, dass er in Konservatismus und religiösem Fanatismus eines der größten übel unserer Zeit sieht. Er sagte, dass er mit dem Buch 2084 versuchen wollte zu warnen vor einer Welt, in der es für das Individuum keine Freiheit mehr gibt. Seine Meinung hat mich innerlich gespalten, denn einerseits ist es natürlich kaum zu übersehen, dass in Europa und der Welt Radikale auf dem besten Wege sind wieder mehrheitsfähig zu werden. Trotzdem halte ich sein Weltbild oder besser gesagt, das Weltbild, welches er während der Vorlesung vermittelte, für zu subjektiv um es einfach so zu übernehmen. Nein, ich will nicht seine fachlichen Fähigkeiten infrage stellen, aber es liegt für mich zumindest die Vermutung nahe, dass seine Meinungen stark durch seine persönlichen Erfahrungen geprägt sind. Denn wir hier bei uns in Deutschland sind in unserer Freiheit zu denken und zu handeln nur selten oder eigentlich gar nicht eingeschränkt. Aber vielleicht kann und soll man Äußerungen wie „Kreatianismus hat in der Schule nichts zu tun“ auch einfach als Mahnung nehmen, sich einfach mal über denn eigenen Mini-Kosmos  hinaus zu informieren.  Na ja,  aber auch wenn es Boualem Sansal noch nicht gelungen ist, mich komplett zu überzeugen, so war es doch auf jeden Fall eine schöne Erfahrung, eine Lesung auf Französisch zu besuchen. Und ich habe mir vorgenommen, das Buch 2084 zu lesen…

Thoma W. und Raphael Z.

Internationales Literaturfestival 2015

In diesem Jahr waren die Leistungskurse Französisch zu Besuch bei Commicautor Riad Sattouf. Vorgestellt wurde sein Band I "L'Arabe du futur - une jeunesse au Moyen-Orient 1978-1984".

Sattouf décrit les premières années de sa vie plongées dans un monde viril et totalitaire, les faits et scènes comiques ou cruels, sans les juger. "L'Arabe du futur, il va à l'école", dit le père à la fin du tome I. Dans le  suivant, Riad ira donc à l'école syrienne.

                                                                                                                                                                                                           

Internationales Literaturfestival Berlin 2013

Beide Französisch-Leistungskurse haben am 9. September 2013 das Internationale Literaturfestival Berlin besucht, das wie immer im Haus der Berliner Festspiele stattfand. Wir wurden in einen großen Raum geführt, wo schon Massen von Schülern unseres Alters saßen und auf die Lesung mit Manuele Fior, einem italienischen Comiczeichner und Illustrator mit Wahlheimat in Paris, warteten:

Comme nous étions assis près du podium, nous pouvions voir Manuele Fior parfaitement. L'auteur et l'illustrateur de BD nous présenta son nouvel oeuvre "L'Entrevue" en parlant du contenu - une magnifique histoire d'amour avec des extraterrestres - suivi d'une courte lecture d'un passage de l'histoire. Grâce à un beamer, qui projectait les passages qu'il lisait, nous avons pu suivre les images de la BD. A la fin, Manuele Fior fit de petits dessins vite fait, avec lesquels ils nous a tous épatés. Chaque dessin avait une histoire. Avant de partir, notre prof de français Mme Schwarz a acheté sa dernière BD, signée par Manuel Fior. En ce moment, la BD passe d'élève en élève pour que nous puissions tous la lire.  

Mariella D. et Ladivine N.